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CŒUR D'UN LYON

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CŒUR D'UN LYON
MUSIQUE GONE


17 juillet 2013

OL - JEONBUK HYUNDAI Samedi 20 Juillet 2013 à 17h00

OL - JEONBUK HYUNDAI Samedi 20 Juillet 2013 à 17h00

 

 

 

2006 - aujourd'huit

 

 

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17 juillet 2013

MATCH AMICAL: RED BULLS - OL 16-07-20013

MATCH AMICAL: RED BULLS - OL 16-07-20013

 

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16 juillet 2013

Infos - Presse

Infos - Presse

 

 

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16 juillet 2013

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16 juillet 2013

MATCH AMICAL : MKS POGON - OL 10.07.2013

MATCH AMICAL : MKS POGON - OL 10.07.2013

 

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13 juillet 2013

DE NOUVELLE ACTU

6 juillet 2013

Retour des vacances

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Apres le retour des vacances, 

continuons les mises a jour

de mon blog...!

 


5 juillet 2013

Le Journal du Mercato

téléchargement

 

Depart:

Anthony Réveillère 33 ans, en fin de contra

 

- Dejan Lovren      

    a: Southampton  

  pour: 10 millions d'euros 

 

Anthony Martial 

  a: AS Monaco

 pour: 5 millions d'euros millions d’euros

 

 

 - Fabián Monzón 

 a: Catane

pour: 3,5 millions d'euros

 

 

-Michel Bastos

a:  Emirats, Al Ain

pour: 4 millions d'euros

 

Arriver:

 

gael danic

- Gaël Danic, 33 ans

    de: valencienne

pour: 1 m milion d'euros

 

 

 

 

 

 

miguel lopes

 

- Miguel Lopes,26 ans 

 

   de: FC Porto

pour: 1 million d'euros

 

 

 

 Henri Bedimo

- Henri Bédimo

 

 

de: Montpellie

 

pour : 2 millions d’euros 

 

 

Presse:

Vers un bras de fer entre Gomis et l'ol,

Mais Aulas a choisi lissandro

 

 

5 juillet 2013

Gomis : «Je suis loin d'être parti»

gomis info l'equipe

 

 

Ecarté du groupe lyonais parti en stage a tigne à Tignes, poussé dehors par Jean-Michel Aulas qui souhaite le vendre cet été, Bafétimbi Gomis assure ce vendredi dans notre journal qu'il ne se laissera pas faire.

«Si j'arrive à un an de la fin de mon contrat, ce n'est pas que de ma faute non plus», lance l'attaquant, déçu par le manque de soutien de Rémi Garde mais qui dit avoir l'appui de nombreux joueurs de l'OL.

Gomis affirme par ailleurs qu'il compte bien rester maître de son avenir.

«Je respecte tous les clubs mais j’ai encore le droit de décider de ma destination, non ?

Je peux vouloir choisir sans être contraint, même si on m’offre des conditions encore plus avantageuses qu’à Lyon.»

«On ne me forcera pas...»,

 

 

 

 

 

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Bafétimbi Gomis se défend

Vendredi 5 juillet 2013 - 13:50

Bafétimbi Gomis en a visiblement eu marre de se faire lyncher par Jean-Michel Aulas dans la presse sans répondre. Le buteur de l'Olympique Lyonnais a donc décidé de donner sa version des faits et assure qu'il n'est pas prêt à quitter Lyon pour un club qui ne l'intéresse pas

 

 

 

 

5 juillet 2013

BAFE GOMIS

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Avec quatorze buts à son compteur en Ligue 1 cette saison, Bafé Gomis n’a pas de quoi rougir, cependant il est évident que l’attaquant de l’Olympique Lyonnais connaît une année 2013 compliquée,

avec seulement trois réalisations (Valenciennes, Socheux et Toulouse) et des titularisations plus rares. En effet, depuis la déroute de l’OL à Reims, Gomis n’a plus été titulaire, se contenant de quelques miettes.

Cependant, fidèle à ses habitudes, le buteur lyonnais ne lâche rien et comme l’a confié son ami et coéquipier Mouhamadou Dabo, l’international tricolore mouille le maillot plus que jamais à l’entraînement pour revenir au sommet.

« Il a fait une bonne première partie de saison et après, c’est devenu un peu plus difficile pour lui.

Il ne joue pas trop. Mais il le vit bien, Bafé a un mental d’acier, et dans ces moments difficiles, il se réfugie dans le travail.

Il fait du rab à l’entraînement avec Gérald Baticle. On a besoin de lui. Il ne faut pas oublier que c’est lemeilleur buteur de l’équipe »,

a quand même rappelé le défenseur de l’Olympique Lyonnais au sujet de Bafé Gomis.

4 juillet 2013

MATCH AMICAL À NEW YORK CONTRE LES RED BULLS DE JUNINHO

 

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L’Olympique Lyonnais jouera un match amical le 16 juillet à New York pour y rencontrer les Red Bulls...

L'occasion de retrouver Gérard Houiller, Peguy Luyindula et le Roi Juninho...

Un très beau moment en perspective...

L'Olympique Lyonnais, dans le cadre de sa préparation pour la saison 2013-2014, s'envolera direction les Etats-Unis, pour y disputer un match amical le 16 juillet contre les Red Bulls de New York, dans la Red Bull Arena, stade dans lequel il a remporté le dernier Trophée des champions. L'occasion aussi pour l'OL de retrouver trois bonnes connaissances...

Juninho, emblématique joueur de l'OL, a rejoint cette année cette formation de New York. Il jouera ainsi contre le club avec lequel il a disputé 344 matchs et inscrit pas moins de 100 buts. Huit saisons entre 2001 et 2009 dans le Rhône pour sept titres de Champion de France, une Coupe de France en 2008 et six Trophées des champions. Un monument à Lyon...

Gérard Houiller, actuellement directeur technique de cette équipe, a été l'entraîneur de l'OL entre 2005 et 2007, avec lequel il a remporté deux titres de Champions de France et deux Trophées des champions.

Peguy Luyindula a lui aussi rejoint New York cette année. Lyonnais de 2001 à 2004, il a été trois fois Champions de France et une fois vainqueur du Trophée des champions. Ses 46 réalisations en 126 matchs ont largement contribué à l'obtention de ce beau plamarès.

 

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Juninho avait rejoint New York en décembre dernier - DR

 

Les supporters lyonnais se faisaient une joie de regarder le match du 16 juillet prochain opposant l'OL aux New York Red Bulls

La raison ?

Juninho, l'ancienne idole de Gerland, allait faire son grand retour contre Lyon.

Sauf que le fils prodigue ne sera finalement pas présent.

Le Brésilien a résilié son contrat d'un commun accord avec le club de MLS ce mercredi soir.

"Nous sommes très déçus de voir que Juninho a décidé de retourner au Brésil parce qu'il est un grand professionnel et un joueur très talentueux",

écrit d'ailleurs NY Red Bull sur son site.

La destination du maitre coup-franc reste inconnue.

L'OL pourra se consoler en se disant que le match amical du 16 juillet sera tout de même l'occasion de croiser d'autres visages familiers. Outre Thierry Henry, l'équipe de Rémi Garde retrouvera les anciens lyonnais Gérard Houiller et Peguy Luyindula

 

 

 

 

 

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A 38 ans, Juninho a surpris tout son monde en annonçant cette semaine son départ des New York Red Bulls.

En plein milieu de saison, et après six mois seulement au sein de la franchise de Big Apple, le milieu de terrain est pressenti pour faire un retour au Brésil du côté de Vasco de Gama, où il va rencontrer le directeur sportif du club dans les prochains jours.

Mais pour l’heure, le moral est visiblement bien bas pour l’ancien lyonnais, qui reconnaît sur le média brésilien Lance qu’il songe à raccrocher les crampons dans les semaines à venir. 

« Mon passage en Major League Soccer a été plus difficile que je ne le pensais.

Et pour tout dire, j’étais un peu découragé et plus aussi motivé pour être honnête.

Je pense que c’est ma dernière saison, je ne peux pas garantir que je vais continuer »

a expliqué l’ancien international brésilien, qui était pourtant encore un joueur prépondérant de Vasco il y a un an de cela, avant le pari raté de son aventure américaine. 

4 juillet 2013

Saison 2013/2014 - Les prochains matchs de l'équipe ...

Saison 2013/2014 - Les prochains matchs de l'équipe
samdi 20 juillet    :  OL - JEONBUK HUNDAI
mercredi 24 juillet:  OL - REAL MADRID
mardi 30 juillet     :  OL  -  Q3 Champions League
21 juin 2013

Au travail on ne s'ennuie pas

21 juin 2013

Fight : le témoignage d’un hooligan lyonnais

 

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Fight : le témoignage d’un hooligan lyonnais

 

Les supporters de foot organisent de plus en plus de fights : des batailles contre les fans adverses. Lyon Mag a rencontré un des leaders des fighters lyonnais. Un témoignage exclusif.

 

“Je suis né à Lyon et j’ai grandi dans une famille modeste. Mon père était artisan et ma mère, fonctionnaire. On habitait alors juste à côté du stade de Gerland. Et le foot a très vite pris une place essentielle dans ma vie. Dès l’âge de 6 ans, j’ai commencé à jouer au FC Gerland puis au FC Lyon. Mes parents aussi adorent le football, surtout ma mère d’ailleurs, qui est une fan de l’OL. Je me souviens parfaitement de mon premier match à Gerland. J’avais 7 ans. C’est mon père qui m’avait emmené. On jouait contre Gueugnon. Et l’OL avait gagné 7-1 ! Un grand souvenir. Mon père m’a ensuite emmené régulièrement voir des matchs. Chaque fois à Jean Bouin. A l’époque, c’était vraiment pas cher. Pour les enfants, c’était même souvent gratuit. 

A 10 ans, je suis allé pour la première fois voir un match sans mon père. Avec des copains. Et j’ai commencé à m’intéresser aux supporters. Cette ambiance, ces cris, tous ces drapeaux, ces odeurs de merguez grillée... Tout ce folklore autour du match me fascinait. Je me souviens qu’un jour j’ai assisté à une bagarre entre des supporters et des CRS. En rentrant chez moi, j’étais surexcité. Mes parents avaient eu du mal à me calmer. J’ai alors décidé de me rapprocher des supporters les plus acharnés de l’OL. Leur réputation violente ne me faisait pas du tout peur. Au contraire. Et à 18 ans, j’ai intégré les Bad Gones, le plus fameux groupe de supporters de l’OL et j’ai commencé à faire mes premiers déplacements chauds et notamment le derby à Saint-Etienne. Le déplacement à l’extérieur, c’est ce qui fait les vrais supporters. 

J’ai alors découvert des supporters ultras et tout de suite je me suis senti en phase avec eux. Pour nous, l’Olympique lyonnais c’est notre histoire, notre culture... Et quand on défend l’OL, on défend notre ville, notre identité. C’est aussi une forme de rébellion dans une société normalisée où les gens ont une petite vie bien rangée : se marient à 25 ans, achètent leur Laguna, habitent leur petit pavillon de banlieue... Nous, on s’en branle de ce modèle. Nous les ultras, on est les derniers porte-parole d’une société libre, qui se bat contre le politiquement correct. Contrairement à ce qu’affirment les pubs Benetton, on n’est pas tous pareils. Chaque ville est différente et on revendique cette différence. Et on est prêts à se battre pour défendre nos couleurs. 

Cette violence fait partie du foot. Et on aime la violence. Pour nous un match se gagne sur trois territoires : sur le terrain dans les tribunes et dans la rue. Dès qu’on a passé le péage de Villefranche au nord ou celui de Vienne au sud, c’est comme si on passait en terre ennemie. Et on veut que les gars en face se disent : “Les Lyonnais arrivent.” Et qu’ils aient peur. 

En 2001, j’ai quitté les Bad Gones 
et le virage nord de Gerland car ils voulaient éradiquer la violence. Bref, il n’avaient plus la contre-culture des ultras. C’était devenu un groupe bien gentil. Je suis alors parti au virage sud et on s’est regroupés à une cinquantaine de supporters indépendants. Ne pas faire partie d’un groupe, c’est la liberté, on n’a pas de comptes à rendre au club. Et on peut organiser nos bagarres tranquillement en marge des matchs. Mais à cause des flics et de la surveillance, c’est devenu plus difficile de se battre près du stade. C’est pour ça que les fights sont nées. C’étaient il y a environ 2 ans. On a alors décidé d’organiser nos bagarres dans des endroits plus éloignés et plus discrets. La fight c’est en fait une réaction contre la répression. 

Une fight, c’est super bien organisé.
 On contacte par téléphone ou par internet le responsable d’un groupe adverse et on lui propose un rendez-vous. S’il est OK, on dit combien on va être, en général une cinquantaine, on lui demande combien ils seront, on précise les règles : sans armes, on ne s’acharne pas sur un mec à terre... Et dès qu’on sait que la fight va avoir lieu, on ne pense plus qu’à ça toute la semaine. Car la violence du week-end est une vraie libération. Puis arrive le jour du match. Si on est nombreux, on se pointe par petits groupes dans le quartier pour ne pas se faire repérer par les flics. On est tous habillés sobrement, sans aucun signe distinctif style maillots ou écharpes de l’OL. Mais on envoie des éclaireurs : des gars à pied, en vélo ou en scooter chargés de repérer les lieux et nos adversaires. 
On s’organise alors pour la bagarre : on met les plus costauds en première ligne, ceux qui feront la première charge, la plus violente. Devant on met aussi ceux qui ne se sont jamais fait coincer par les flics, qui n’ont pas de casier judiciaire. Si on est nombreux, on se regroupe par bandes de potes pour qu’au moment de la baston, on reconnaisse ceux de notre bande. Sinon dans l’hystérie générale, on risque de se taper dessus entre nous. Ce qui arrive parfois !
Quand on repère la bande adverse, l’adrénaline commence à monter très, très fort. Le meilleur moment c’est quand on finit enfin par les voir et les entendre. Ils sont là, ils avancent en criant... Le contact va bientôt avoir lieu. Et soudain, c’est le choc, très violent : coups de poing, coups de pied... T’as pas le temps d’avoir mal, tellement t’es excité. Et ce n’est pas une question de force physique. Je n’ai pas un gabarit très imposant, je mesure seulement 1,72 m pour 73 kilos. En fait, c’est dans la tête que ça se passe. 
En général, une fight ça ne dure pas très longtemps, moins d’une minute. Un des deux groupes prend rapidement l’ascendant sur l’autre. Et ceux qui ont le dessous prennent la fuite. On relève les blessés et on se tire. Mais le lendemain, tu as mal partout et tu mets souvent plusieurs jours à t’en remettre. Et parfois, tu es bien abîmé. En août 2006 à Nice, on s’est retrouvés dans une ruelle de la ville, coincés par une bande de Niçois, armés de tessons de bouteille. Résultat, j’ai eu le crâne ouvert, une triple fracture du nez... J’ai eu deux mois et demi d’arrêt de travail. Dans ces cas-là, tu dis au médecin que tu es tombé dans l’escalier ! 

Quand on fait 4 ou 5 fights dans la saison, on est content ! Car les clubs contre qui on peut organiser des fights ne sont pas nombreux : Paris, Lille, Nancy, Metz... Des clubs qui ont des groupes d’ind&eacut

 

Sa plus belle fight 
“Le dimanche 16 avril 2006, on jouait à Paris contre le PSG. A mon avis c’est la première fight en France. Ce jour-là, on est allés défier les hooligans parisiens chez eux. Personne n’avait jamais osé faire ça, car, niveau baston, les Parisiens sont clairement les meilleurs. On est partis tôt le matin de Lyon à 50 dans un bus. Une fois arrivé sur Paris, j’appelle un indépendant parisien et je lui propose une fight. Le Parisien, tout excité qu’un groupe vienne enfin les défier, me répond : “OK, on arrive !” On les a attendus dans un parc à environ un kilomètre du Parc des Princes. La nuit commençait à tomber. Tout à coup, on a commencé à les entendre mais sans les voir. Ils criaient “PSG Hooligans” en tapant dans leurs mains... C’était vraiment impressionnant. On s’est alors regardés en se disant qu’ils devaient vraiment être nombreux. Et franchement on avait la trouille. Et puis on les a vus, ils étaient au moins une centaine ! Deux fois plus que nous. Un grand moment ! Mais la trouille s’est vite transformée en adrénaline. Et puis, on est allés au contact. Et ça a été très violent. Et rapide. 15 secondes à peine. Car on a vraiment dérouillé ! On a alors pris la fuite et ils nous ont poursuivis jusqu’au stade. Ce jour-là, on a montré à toute la France que les supporters lyonnais avaient des couilles.”

 

20 juin 2013

Les Bad Gones et les South Winners suspendus quatre mois ?

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Le samedi 18 mai dernier, à l’occasion d’une rencontre impromptue au péage de Bollène, des supporters de l’OL, qui rentraient du déplacement annulé à Nice, et leurs homologues de l’OM, qui se rendaient à Saint-Étienne, s’étaient battus comme des chiffonniers, sous le regard effaré d’automobilistes présents sur place. Cette bataille rangée opposait des membres des Bad Gones à ceux des South Winners et ces deux associations devraient le payer au prix fort.

En effet, Antoine Boutonnet, responsable de la Division nationale de lutte contre le hooliganisme, a demandé la suspension de ces deux groupes pour quatre mois, mais selon le Parisien elle pourrait même durer une saison entière. C’est désormais la Commission nationale consultative de prévention des violences lors des manifestations sportives qui va décider quelle sanction sera appliquée aux deux groupes de supporters. De leur côté, l'administration et la justice s'activent également puisque les interdictions de stade pleuvent sur les adhérents de ces deux groupes suite à ce grave incident, lesquels ont été identifiés par les forces de l'ordre, venues rapidement sur place et grâce aux différentes vidéos de surveillance du péage.

 

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17 juin 2013

Nouveau maillot et porter + gadjet

 

 

Nouveau

Saison 2008-2009

 maillot porter par Grosso

 

 

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 Ballon de la boutique, dédicacée par dix joueurs ce jeudi 11 juillet

saison 2013 - 2014

 

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 et un maillot

 

 

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GADJET:

 

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14 juin 2013

braderie olympique lyonnais 2013

grandre braderie olympique lyonnais, exposition olmuseum et viste au coeur du stade 
soyer nombreux a l'ouverture 

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7 juin 2013

bienvenue

bienvenue
bienvenu sur mon blog... Chers fans de l'Olympique Lyonnais, Ma collection a débuté dès l'age de 9 ans, le premier jour où j'ai mis le pied dans l'ancien stade de Gerland... Ma première place collectionnée remonte à la saison 1994-1995. Depuis je suis...
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